Le jeu est un moyen pédagogique qui permet d’apprendre, de pratiquer et de développer ses capacités. Il aide à atteindre ses objectifs

C’est l’utilisation des mécanismes et de l’esprit du jeu dans un contexte autre que le jeu.

Loin d’être une simple source d’amusement, le jeu peut avoir un réel effet en termes de motivation et d’engagement. Utiliser des jeux en formation pourrait donc bien s’avérer bénéfique pour les apprenants.

Apprendre en jouant ou jouer en apprenant ?

LES GRANDES TYPOLOGIES DE JEU

• Les serious game : détourner un jeu existant

Les Serious Games (Jeux Sérieux) empruntent les codes du jeu vidéo dans un but pédagogique. Le scénario se réajuste en permanence selon les actions de l’apprenant. Ce dernier peut ainsi tester une solution, une décision sans prendre de risque ; progresser par essai et erreur. La dimension ludique permet de prendre du recul face à la réalité professionnelle ; d’adopter de nouveaux comportements, de nouveaux réflexes.

Les serious game sont utilisés dans des domaines variés afin d’appréhender les spécificités de votre métier, la vente, la relation client, la communication, les RH mais aussi les langues étrangères. Avec les serious games, on développe ses compétences par l’expérience, en étant dans l’opérationnel.

• Approche ludique qui favorise l’engagement des participants
• Incentives (badges, feedbacks, etc.)
• Dépassement de soi via des défis à relever en solo ou à plusieurs
• Entraînement sur les étapes clés de son métier
• Apprentissage par l’erreur sans prendre de risques​​

1. Le jeu représente un facteur important de motivation et d’engagement

• 2. Les jeux permettent de dépasser les barrières des générations

  Le jeu est une activité sociale partagée dans la majorité des cultures humaines, et mêmes animales, et ce depuis des milliers d’années. Face aux difficultés de collaboration entre générations, une activité ludique permet de mettre tout le monde sur pied d’égalité^2 3.

3. L’apprentissage ludique permet de remettre l’apprenant au cœur de son apprentissage

Le formateur, qui devient alors plutôt « animateur – facilitateur », sort de sa posture de prof omniscient afin de mettre en place les conditions pour favoriser l’apprentissage des participants. L’apprentissage devient donc social et collaboratif, ce qui permet aux participants de co-construire leurs propres compétences et de développer leurs capacités de travail en équipe.